samedi 21 mars 2009

The Sydney Opera House and the Harbour Bridge 3


The Sydney Opera House and the Harbour Bridge 2


The Sydney Opera House and the Harbour Bridge depuis Royal Botanic Gardens


The Sydney Opera House et moi 2


The Sydney Opera House et moi


The Sydney Opera House 6


The Sydney Opera House 5


The Sydney Opera House 4


The Sydney Opera House 3


The Sydney Opera House 2


The Sydney Opera House


The Sydney Harbour Bridge et moi


The Sydney Harbour Bridge 2


The Sydney Harbour Bridge


Sydney - The Royal Botanic Gardens


Sydney et le Pacifique


Sydney - Hyde Park


Sydney Harbour


The big six


Saint Mary's Cathedral


Sydney - Sydney Tower with Australian flag


Sydney - Le plus grand Imax du monde


Sydney - Darling Harbour 2


Sydney - Darling Harbour

Sydney ! Une des villes les plus agréables à vivre du monde, selon certains. Le soleil et la chaleur règnent aujourd'hui. Mais une ville a tôt fait de broyer un homme : l'air n'y est pas vif, le calme est trop souvent une utopie, les couleurs sont taries, la vie chevrotante. Qui plus est, Sydney est particulièrement écrasante, faute sans doute à ses énormes buildings, ses highways et son rythme de vie effréné.
Après quelques jours passés dans la ville, on peut délaisser les cartes : on s'y retrouve aisément. J'aurai en deux semaines avalé les kilomètres de bitume à pied.

Darling Harbour et son Imax - le plus grand du monde ;
Le grand casino et ses joueurs férus de poker ;
Les Royal Botanic Gardens : jardin d'éden au cœur de la ville, dégorgeant dans le ciel en plein jour d'innombrables chauves-souris géantes ;
L'incontournable opéra - où j'aurai assisté à une symphonie de Beethoven : magique ! ;
The Rocks ou le ''vieux'' quartier chic ;
Circular Quay, où ronronnent les ferries ;
China Town, pour satisfaire l'estomac criant famine ;
Hyde Park - où les Irlandais ont festoyé dans la joie et la bonne humeur le jour de la Saint-Patrick ;
Harbour Bridge, le célèbre pont ;
Kings Cross, quartier chaud de la ville, où se côtoient drogue dure et prostituées ;
Bondi Beach, la plus célèbre plage d'Australie - elle ne vaut pourtant de loin pas les plages sauvages ;
Manly Beach, ou le lieu de prédilection des surfers de Sydney ;
Etc. etc.



La Lane Cove River


The Lane Cove River National Park


L'entrée du Lane Cove River Tourist Park


vendredi 13 mars 2009

Deux Rainbow lorikeet

Des oiseaux comme on n'en trouve qu'au bout du monde. Un plumage beau comme un soleil.


Un Rainbow lorikeet 2


Un Rainbow lorikeet


Premier réel danger

J'allais chercher de l'eau pour nettoyer ma tente, quand je suis tombé nez à nez avec l'araignée que voilà, manquant de justesse de lui offrir mon visage en pâture. Venimeuse ? Aucune idée... (je ne l'ai pas identifiée à ce jour)


Australian spiders

En Australie, il y a les serpents, mais aussi les araignées. Deuxième danger conséquent. Pensons notamment a la Funnel Web Spider ainsi qu'à la Red Back, aussi célèbres que venimeuses. Là encore, j'espère en voir quelques-unes...


Venoumous snakes of Australia

Une partie des dangers qui m'attendent dans ce monde nouveau. Il est à savoir qu'on trouve en Australie 7 des 10 plus dangereux serpents au monde. J'espère sincèrement faire la rencontre de quelques-uns d'entre eux.


L'oiseau qui osa s'approcher de mon réchaud

Quand je cuisais des pâtes dans mon réchaud, au Lane Cove River Tourist Park, cet oiseau - que je n'ai toujours pas identifié à ce jour - n'hésitait pas à s'approcher de celui-ci pour tenter de ravir mon dîner. Quelques coups de bâtons ne suffirent pas à le faire fuir. Gueux !


L'aéroport de Sydney avec le CBD en fond

''Australia !

Après non moins de 20 heures d'avion, j'arrive enfin en Australie, prêt à tout... Je n'ai pas dormi depuis longtemps et je ne suis pas prêt de trouver le gîte : il me faut maintenant rejoindre le centre de Sydney, avec mon backpack qui pèse plus qu'un cadavre humain, après quoi je devrai coûte que coûte trouver Chatswood, où se trouve mon camping. Là, il me faudra encore monter ma tente sous le soleil vif, non sans grande peine : les piquets ne voudront pas percer la terre, dure comme le caillou, et je n'aurai pas de marteau pour m'aider. On entre dans le vif du sujet sans autre forme de procès.

La première personne indigène à qui je parle est une femme d'un certain âge. Dans le train pour Chatswood, voyant mon apparence (!), elle m'aborde. On discute un moment, et, lorsqu'on en vient au sujet des Blue Mountains, apprenant que je compte marcher quelques jours dans ces montagnes, elle me met en garde, en disant quelque chose comme ça : "Il n'est pas rare que des marcheurs se perdent dans les montagnes et ne reviennent jamais... Dernièrement, un tel cas s'est présenté." "It doesn't matter!"